Voici le message de mon cousin Cyril, le fils de Tania. Merci beaucoup Cyril, pour tes belles pensées, qui la convoquent tellement clairement :
Pour moi, madame ta Mère était avant tout l'autre adulte, l'étonnant parent !
Le souvenir « visuel » c'est celui de son maquillage, époque Limoges, trait en travers de la joue.
Oh oui le Frigo média ! Bien sur ses lettres, pages numérotées, écrit en travers et aussi sur les côtés.
Les moments ensemble remontent à quelques années, Bourges où je suis passé avec Géraldine. Pierre ton Père venait d'avoir un jeux de golf sur son portable et Marie France désespérait que nous sortions. Finalement les balades nocturnes ont du charme.
Avant encore c'est Limoges, la découverte d'une installation ! Des gars te font traverser une rivière tracée par des galets posés dans un salon, ah bon !
Mais surtout
c'est vous découvrir à Saintes. Ma convalescence d'appendice durant laquelle j'ai appris à faire du patin à roulettes (l'autre adulte...) ; les jeux avec les gentils passants, cling cling fait la pièce trouée au bout du fil invisible. Et Marie France d'expliquer à la passante récalcitrante que les enfants s'amusent et que donc tout ça est bon enfant.
Il y a aussi l'apprentissage du javanais à Doué la Fontaine, et Groix. Pique-niques et œuf « dur » que l'on se casse sur la tête, splatch !
J'aime sincèrement Marie France. Penser à elle n'est pas douloureux, juste doux amer. Je suis heureux d'avoir connu une femme qui m'a nécessairement influencé. Qui a participé à l'ouverture de mon esprit. Une femme finalement qui a contribué à ma vision de la femme.
Merci Jib de Jambes de m'avoir invité à m'interroger sur l'absence de Marie France. Je ne suis pas un nostalgique, je suis content de l'avoir vécu, même si c'est passé. ses inventions manquent toutefois sacrément !
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