Ce blog est dédié aux amis de MFRE (Marie-France Richard-Eliet), qui souhaitent partager leurs souvenir d'elle - Comment ça marche ? - Message d'accueil

mardi 21 mai 2013

Cousinage à la mode de Bretagne

"L'éducateur d'hommes ("homme" désignant les membres de l'espèce humaine et pas seulement le masculin) se trouve dans tous les milieux : la famille, l'école, l'université, les hôpitaux, les entreprises de tous les secteurs de production... Bref, toute institution où les humains vaquent et gagnent leur vie. Ceux qui habitent ces institutions savent-ils toujours quelle est l'importance de la manière dont ils jouent leur rôle ? Savent-ils toujours qu'ils ont une lourde responsabilité dans la promotion d'êtres responsables, clairvoyants et courageux ? Savent-ils qu'il ne s'agit pas seulement de former de bons professionnels nantis de diplômes certifiant un savoir ? Sont-ils conscients qu'à n'importe quelle place, il est important que celui qui l'occupe soit un "honnête homme" et non une canaille ? Que ce soit quelqu'un dont la parole n'est pas trompeuse, témoignant à travers sa courtoisie que l'autre aussi existe ? Il importe que ceux qui disposent d'une parcelle de pouvoir et d'autorité ne soient pas des tueurs, ni des machines ni des robots, mais des parlêtres justes et droits. Sinon, comment transmettraient-ils de l'humain ?"

J'ai lu les livres de Charlotte Herfray avant de la rencontrer. Son écriture claire, sa générosité et son humanisme m'ont fait penser à plusieurs reprises à MFRE, aux souvenirs construits dans ma mémoire autour de

mardi 7 mai 2013

Angers

Je me décide à parler de Marie France, grande amie de Suzon en son temps (1961) à Angers et longtemps après aussi et de Pierre.
Ils ont débarqué tous les 2 à Angers. Lui à  l'EAG (école d'application du génie), elle a rejoint Suzon à l'école Sainte Agnès ; qu'enseignait elle ? ma femme, Suzon, l'allemand.

Puis je suis parti en Algérie laissant ma femme, en bonne mains, à plusieurs jeunes officiers !!! : (Bornens, Pleuvry, Pisot, Richard).
Je me souviens que Marie France qui attendait Damien et qui avait dû rester couché de longs mois ne se décidait pas à passer à l'acte à la fin et que Pierre sur sa Vespa la secouait sur  les pavés des rues angevines.

Nouveau souvenir quelques mois plus tard :
Pierre ayant été envoyé comme officier (en ce temps on faisait 28 mois de service) à Strasbourg,
nous sommes allés les voir ; ils habitaient un petit studio au dessus d'un bar "A LA LOCOMOTIVE" près de la gare de triage ; c'était très calme !!!!!!

Et là un jour Marie France qui changeait Damien l'a un peu délaissé sur la table (pour le langer) et